Le Phoenix bat l’Armada 3-1 dans le match ultime et passe au prochain tour

La Presse Canadienne

L’Armada de Blainville Boisbriand a remporté deux matchs de suite pour forcer la tenue d’un septième et ultime match contre le Phoenix à Sherbrooke, mais s’est finalement incliné 3-1 dans celui-ci, mardi au Palais des Sports Léopold-Drolet.

Lewis Gendron a inscrit un but et une aide dans la victoire. Hugo Primeau a aussi touché la cible et Olivier Dubois a confirmé la victoire des siens dans un filet désert.

Maxime Côté a récolté deux mentions d’aide et Samuel St-Hilaire a repoussé 24 rondelles.

Matt Gosselin a trouvé le fond du filet pour l’Armada, qui a vu son gardien Olivier Ciarlo bloquer 42 des 44 tirs dirigés vers lui.

Primeau a ouvert la marque pour le Phoenix avec son deuxième filet des séries, à 13:55 de jeu au premier vingt.

Les deux équipes ont décoché plusieurs fois au filet adverse dans les 20 premières minutes, le Phoenix menant 15-12 à ce chapitre.

Le Phoenix a commencé le deuxième vingt en avantage numérique pour quatre minutes, alors qu’Olivier Lemieux a été puni à la fin de la première période pour un bâton élevé.

Les favoris locaux n’ont pas marqué avec l’avantage d’un joueur, mais ont tout de même gagné du rythme. De son côté, l’Armada n’avait pas encore de lancer en près de huit minutes de jeu en deuxième période.

À force d’attaquer, le Phoenix a été récompensé. Gendron a touché la cible à 7:40 pour donner les devants 2-0 à son équipe.

Après 40 minutes, le Phoenix menait 34-16 au chapitre des tirs, ne laissant l’Armada lancer que quatre fois au deuxième vingt.

Comme au deuxième engagement, l’Armada a tardé a obtenir son premier tir au but lors du dernier tiers. Vincent Desjardins a décoché au filet de St-Hilaire à mi-chemin de la période.

Avec 6:30 à faire au match, Gosselin a touché la cible en avantage numérique pour réduire l’écart à 2-1 et donner une chance à son équipe de revenir dans le match.

Dubois a toutefois scellé l’issue du match dans un filet désert, avec 1:15 à jouer en temps réglementaire.

Malgré sa domination au chapitre des tirs, le Phoenix n’a profité d’aucun de ses six avantages numériques.

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