Un an avant de commettre son attentat à Saint-Jean-sur-Richelieu, Martin Couture-Rouleau présentait déjà des signes alarmants de radicalisation, mais il n’a pas été pris en charge par la clinique externe de psychiatrie de l’Hôpital du Haut-Richelieu. Ce suivi est critiqué par le coroner qui a fait la lumière sur sa mort.
Dans son rapport rendu public vendredi dernier, le Dr André-H. Dandavino juge «questionnable» le travail de l’équipe du département de psychiatrie de Saint-Jean-sur-Richelieu. Il ne reproche rien aux autres intervenants, notamment les policiers municipaux.
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