Une passion qui la mène à l’École supérieure de ballet

Par mclessard
Une passion qui la mène à l’École supérieure de ballet
Clémence Lacasse est affiliée à l'École supérieure de ballet du Québec depuis ses études à l'école secondaire. (Photo : (Photo gracieuseté - École supérieure de ballet du Québec))

La Johannaise Clémence Lacasse a découvert sa passion pour la danse classique et contemporaine dès l’âge de trois ans, alors qu’elle suivait des cours au Ballet classique du Haut-Richelieu (BCHR). Aujourd’hui âgée de 18 ans, la jeune étudiante à l’École supérieure de ballet du Québec poursuit ses efforts afin de continuer de se démarquer dans ce milieu contingenté.

Clémence Lacasse est affiliée à l’École supérieure de ballet du Québec depuis ses études à l’école secondaire. Elle a participé à un programme de danse-études qui lui a permis de perfectionner tous les jours son talent en danse jusqu’elle soit admise au Cégep du Vieux Montréal en danse pendant trois ans. 

« J’en suis à ma deuxième année. Le Cégep du Vieux Montréal et l’École supérieure de ballet du Québec sont partenaires. J’ai donc entre 35 et 45 heures par semaine de cours théoriques de base comme l’anglais et la philosophie et de cours de danse pratiques », explique la danseuse. 

Lorsqu’elle a commencé à suivre des cours de danse au BCHR, Clémence Lacasse n’entretenait pas l’objectif de devenir une danseuse professionnelle. Ce sont des rencontres avec des enseignants et des danseurs professionnels qui ont cru en son potentiel qui ont convaincu la jeune danseuse d’entamer des études dans ce milieu.

« Maintenant, je ne me verrai plus avoir de l’école sans avoir des cours de danse pendant une demi-journée », précise-t-elle.

Investissement

Celle qui en est à sa deuxième année d’études collégiales dans un programme de trois ans ne regrette pas ce choix de carrière. Sa passion pour la danse est suffisamment grande pour qu’elle s’adapte bien à l’hygiène de vie que demande la danse professionnelle. 

« Mes parents m’aident pour les coûts. Je vis encore à Saint-Jean-sur-Richelieu. Je fais plusieurs heures de transport en commun par jour pour aller à l’école. Je suis rendue habituée maintenant. Ça fait partie de ma routine, même si ça me fait de grosses journées. », avance celle qui danse six jours par semaine. 

Instinct 

Au fil de ses études, Clémence Lacasse apprend à découvrir la danseuse qu’elle souhaite être dans les prochaines années, tout en ne se mettant aucune pression. 

Elle se laisse guider par les opportunités qui se dressent sur son chemin. « J’ai fait des stages de ballet en Italie et à New York pour élargir mes horizons. J’aime collaborer et créer avec des danseurs professionnels », déclare la jeune femme passionnée. 

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