Sept arrestations et des stupéfiants retirés de la circulation

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Par Valerie Legault
Sept arrestations et des stupéfiants retirés de la circulation
Les policiers ont retiré du marché une grande quantité de cannabis, de cocaïne, de haschisch, de champignons magiques, de crack, de méthamphétamines d'ecstasy. (Photo : Service de police de Saint-Jean-sur-Richelieu)

Le groupe Octo du Service de police de police de Saint-Jean-sur-Richelieu a frappé quatre fois plutôt qu’une au courant du dernier mois. Leurs quatre perquisitions ont mené à l’arrestation de sept suspects, tous âgés dans la vingtaine, et d’une grande quantité de stupéfiants de toutes sortes.

L’équipe spécialisée dans la lutte contre la criminalité émergente et les stupéfiants a une fois de plus perturbé le trafic de stupéfiants à Saint-Jean-sur-Richelieu. Ses perquisitions sont le fruit de quatre enquêtes indépendantes, dont plusieurs indices lui avaient été transmis par des citoyens.

La première rafle remonte au 26 novembre, où quatre individus ont été arrêtés. Les policiers avaient alors saisi un vaste inventaire de cocaïne, de champignons magiques, de haschisch et de cannabis, de métamphétamines et d’ecstasy. Une perquisition a eu lieu le lendemain, suivi de deux autres les 2 et 11 décembre. Trois autres suspects ont été appréhendés lors de ces interventions.

Crack, cocaïne…

Le Service de police de Saint-Jean-sur-Richelieu maintient une pression constante sur le crime organisé local qui orchestre le trafic de stupéfiants dans la ville. Ces quatre opérations ont permis de retirer du marché un kilo de cannabis, 58 grammes de cocaïne, 64 grammes de haschisch, 120 grammes de champignons magiques, 14 grammes de crack, 450 comprimés de méthamphétamines et 30 comprimés de MDMA (ecstasy). Les policiers ont également mis la main sur un fusil tronçonné de calibre 12, plusieurs téléphones cellulaires et une somme de 12 000$ en argent comptant.

Les sept individus arrêtés étaient tous connus des policiers. Ils ont été remis en liberté avec de sévères conditions, notamment des couvre-feux et des interdictions de contacts dans certains dossiers. Ils feront face à la justice pour répondre à des accusations de possession de stupéfiants, de trafic de stupéfiants et de possession d’arme.

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