Jamais trop tôt pour penser à l’après-graduation

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Par Marie-Josée Parent
Jamais trop tôt pour penser à l’après-graduation
Les élèves Zineb Essoulimani et Maxyme Gaudreau sont entourées des organisateurs du salon des finissants: Daniel Maheux, Johanne Martineau et Nathalie Labelle.

Les élèves viennent de débuter leur année scolaire que déjà il est temps pour eux de penser à l’après-graduation. Cégeps, universités et centres de formation professionnelle ont d’ailleurs rendu visite aux élèves de la polyvalente Chanoine-Armand-Racicot.

Au total, 26 organisations ont présenté leurs programmes d’études aux jeunes, le mercredi 1er novembre. Il s’agit d’un rendez-vous incontournable pour les élèves.

L’activité permet aux adolescents d’explorer les diverses options qui s’offrent à eux après le secondaire, en rencontrant les représentants des écoles. Ces derniers sont les mieux placés pour décrire les cours, énumérer les exigences et expliquer les critères d’admission.

«Pour nos finissants, c’est l’occasion de discuter et de confirmer certaines informations.

Ils abordent différents sujets, comme les services ou les installations sportives et culturelles offerts dans les établissements», indique Nathalie Labelle, conseillère d’orientation à la polyvalente.

L’activité est également proposée aux étudiants des niveaux inférieurs. «Pour le quatrième secondaire ainsi que pour les autres élèves de l’école, c’est l’occasion de prendre connaissance des préalables requis pour accéder à certains programmes et se procurer de la documentation afin d’en discuter avec leurs parents», estime Nathalie Labelle.

Choix difficile 

Les inscriptions pour les cégeps devant être complétées avant le 1er mars, les élèves ont encore du temps pour réfléchir à leur choix de carrière.

Pour Zineb Essoulimani, finissante à la polyvalente, l’événement lui a permis de confirmer ses options. «J’ai déjà choisi mon cégep, mais je ne suis pas encore certaine de mon université.

J’ai aimé rencontrer les représentants. Ils étaient clairs et structurés. C’était rassurant», explique celle qui assume la présidence du conseil étudiant.

En quatrième secondaire, Maxyme Gaudreau n’est pas encore à l’heure des choix, mais elle étudie déjà les possibilités qui s’offriront bientôt à elle.

«Je suis quelqu’un de vraiment bien organisée, confesse-t-elle. Je regarde vers la commercialisation de la mode, mais j’ai aussi beaucoup d’intérêt pour l’histoire, l’architecture et le design intérieur.»

L’activité lui a permis d’ouvrir ses horizons. «Elle m’a ouvert des portes. Il y a des programmes que je n’ai pas encore envisagés.

Je suis plus mêlée, mais dans le bon sens», conclut-elle.

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