Une simulation d’incendie prise très au sérieux

Les boyaux d’arrosage sont gonflés. Les sapeurs ont déjà enfilé leur combinaison et leur masque à oxygène. Le feu peut être allumé sans danger, mais avant d’être éteintes, les flammes apprendront bien des choses aux pompiers.

C’était jour d’entraînement pour l’équipe de la caserne de Saint-Luc, lundi après-midi. Réunis en bordure de la rivière Richelieu, les pompiers avaient une chance unique de parfaire leurs connaissances en dehors des situations d’urgence.

Les formateurs avaient préparé deux exercices pour la journée. Le premier scénario les amenait à se tenir sans bouger, dans une petite pièce, à moins de cinq pieds du foyer d’un incendie. Le but? Apprendre à lire la progression de la fumée et des gaz chauds.

«Le développement d’un feu est lent au départ, mais progresse très rapidement après quatre ou cinq minutes, explique le chef aux opérations et organisateur de la journée, Serge Beauregard. C’est pourquoi les premières minutes d’une intervention sont très importantes.»

Retrouvez la version intégrale de cet article dans l’édition papier du journal Le Canada Français, en kiosque le 18 avril. Pour voir les pompiers au travail, visionnez l’extrait vidéo.

Des problèmes techniques nous ont empêché de publier le vidéo, le 18 avril. Nos excuses pour le délais.

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